Outre les facteurs sociopolitiques et les antécédents de répression violente, la gestion de la transition économique, amorcée par le parti Baas syrien en 2005, et l’essor que connaît le pays depuis un certain temps semblent constituer une soupape de sécurité pour le régime de Damas contre le phénomène de renversement, par la rue, de régimes dans le monde arabe. Éclairage. Orchestré ou pas par certaines puissances étrangères, le « printemps arabe » - ce vent de liberté qui souffle pour la première fois (...)
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